René Schlosser
Voici la manière dont cet artiste décrit lui-même sa démarche :
« Tout commence par la découverte heureuse de vieux zincs de toitures gravés
par 40 ou 50 ans de pollution, d’intempéries…
Suit une période plus ou moins longue de stockage, d’observation, d’interrogation, d’hésitation… le matériau propose des projets nombreux. Un jour, les propositions deviennent évidentes et réalisables.
Travail lié au hasard des découvertes, du savoir-faire, du laisser-faire, de plus en plus simple, porté par des intentions plastiques circonstanciées. »